Immobilisé devant son écran d’ordinateur comme à son habitude, Gaspard Dorélien s’informe, se forme et s’amuse en même temps. Voilà ce qui rythme ses journées d’étudiant et d’entrepreneur.
« Je suis le fondateur de Fotomatik, une institution de formation en photographie et en audiovisuel, et je poursuis un Master en Journalisme
actuellement », explique ce passionné de littérature, de romans en
particulier.
Entre un hochement de tête et un ajustement de
son écouteur qu’il garde accroché à l’oreille, cet hyperactif est intarissable
dès qu’il s’agit de décrire son goût pour la communication, son domaine de
prédilection.
Un rêve longtemps caressé
«Tout petit, je rêvais déjà devenir un
communicateur » se souvient cet homme aux cheveux crépus, qui confie avoir bien compris le sens des recommandations
de sa mère, du temps où elle était en vie.
«Elle
me disait toujours que le seul moyen d’être respecté dans la société est d’être
instruit».
Et c’est sans doute ce souci d’être un homme éduqué qui pousse ce boute-en-train légèrement corpulent à être toujours motivé à l'idée de suivre une nouvelle formation.
Entre des études en sciences humaines, en
réalisation de film et en photographie, ce journaliste ne se lasse jamais d’apprendre, de découvrir.
Une expérience enrichissante
« J’aime énormément la télévision », affirme, un tantinet détendu,
le jeune homme qui a fait ses premières
armes en 1999 à l’émission Page tournante, animée à l’époque par Martine Denis Chandler sur la Télévision Nationale d’Haïti. .
« Ma place était dans le public et je posais
souvent des questions aux invités », se raconte-t-il, visiblement fier de cette expérience.
«Quatre ans plus tard, j’ai présenté ma propre émission-Carte Postale-sur Télémax,
avant de me retrouver réalisateur et chef de plateau», explique cet amoureux des nouvelles technologies.
Un passionné des nouvelles technologies
Transpirant dans sa chemise à carreaux
bleu-ciel rentrée dans son pantalon kaki, ce natif de Carrefour (commune située
au sud de Port-au-Prince), affiche un sourire à toute épreuve qui illumine son
visage couleur café.
Le regard fixé sur son Blackberry qu’il tapote
sans arrêt pour échanger avec des amis sur Twitter, ce mordu des nouvelles
technologies n’est jamais fatigué de ses joujoux électroniques.
Père de deux enfants nés d’un premier mariage
dont il garde encore des souvenirs controversés, ce volubile rêve d’une
nouvelle vie.
Cap sur l'avenir !
A 33 ans, l’initiateur de Miss Anayizz, un
concours de beauté et d’intelligence, estime avoir bien surmonté les épreuves de la vie jusqu’ici. « J’ai franchi bien de
barrières, je me suis fait un nom, ce qui n’est pas facile en Haïti ».
Dans ce pays où tout est compliqué, il nourrit
l’idée de réussir également sur le plan
économique.
«La communication ne rapporte pas suffisamment, je compte produire
et commercialiser du thé et gagner beaucoup d’argent ».
Un rêve
de plus pour ce jeune entrepreneur. Une
nouvelle ambition, comme pour laisser
comprendre que dans sa vie, ce ne sont pas les passions qui manquent.
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Entre discours panégyrique et professionnalisme prétentieux, l'auteur s'embrouille et embête "ses" lecteurs avec, entre autre, des tournures rébarbatives...
RépondreSupprimerMonsieur, vos remarques seraient plus utiles si elles ciblaient une partie spécifique du texte. En passant, sachez que le but de ce travail n'était pas de faire l'apologie de la personne interviewée mais plutôt de la projeter sous ses différentes facettes. Nous sommes peut-être ambitieux mais pas prétentieux. Merci de continuer à nous lire.
SupprimerAille. Dur, le Joe. Mais c'est vrai qu'il y en a de ces tournures qui lassent... Gaspard echangeant surr Twitter ?! J'ai des doutes...
RépondreSupprimerGaspard ne manque pas d'ambitions, il est vrai, mais le texte contient trop de redites.
RépondreSupprimerMes amis a en croire que les zins comme dit KFC jaillissent de partout meme ici,je vous en prie prenez le en douceur .Il est bien vrai qu'en plus de l'appreciation du texte il y va de ce qu'on peut en tirer puisque bien sur si l'on considere de qui l'on parle .L'auteur s'en est bien tire.
RépondreSupprimerBravo Gaspard ,et tiens bon Merone.